Le blog de beranger

Vendredi après midi. Je suis dans la rue piétonne en train de suivre une poulette en jupette plissée, belles cuisses en lycra couleur chair. J'espère un petit coup de vent pour que la jupette se soulève et me révèle des bas. La donzelle s'engouffre dans le monoprix, je fais de même, mais je perd sa trace. Je ressors donc, et voilà qu'à la vitrine d'un Eram, une blonde, de dos, essaye des chaussures. Elle est debout et se penche donc pour enfiler les modèles. Imparable, sa jupe remonte, la haut de ses dim up noirs apparait. Je m'arrête. Je ne suis d'ailleurs pas le premier; je réalise qu'il y a un autre type derrière moi qui se régale du spectacle depuis de longues minutes: il fait mine de lire des texto sur son portable mais en vérité il prend des photos. La blonde sort du magasin (sans avoir rien acheté) et retrouve son copain, après que tout le monde ait vu ses bas. Roulage de pelles, il lui tate plus ou moins discrètement les fesses..... ok, il est très impatient qu'elle le suce une fois rentrés à la maison, qu'elle s'accroupisse sur sa queue avec juste ses bas noirs et ses bottes à talons aiguille, et qu'après il la défonce à grands coups, motivé par le souvenir des hommes qui ont reluqué les cuisses gainées de sa chérie. Je sais comment ça se passe: j'ai toujours baisé deux fois plus fort mes compagnes en sachant qu'elles s'était fait matées avant.